Désepoir...
Dubaï 23-02-2006
Il est 2H
Il semble que je ne puisse écrire qu’a cette heure tardive, quand tout le monde, ou presque, dort !!
C’est comme si la présence de gens inhibait mes pensées, les polluaient. Ça me soulage d’écrire, de traduire en mots et phrases mes sentiments.
Justement !! Je me suis mis cette nuit à écrire pour exprimer un sentiment qui m’accable. Le mot pour exprimer ce sentiment est désespoir. Un mot simple sensé traduire un état d’âme!
Mais derrière ce mot se cache –du moins selon moi !- une peine ‘corrosive’ et dure à supporter. Il traduit un sentiment d’impuissance face aux aléas de la vie, prouve un refus de l’échec et signifie une incapacité de se projeter positivement dans l’avenir.
J’ai l’impression que je dissèque ce mot comme pour le comprendre à fin de rationaliser cet état de panique passive qu’est le désespoir.
J’évite de décrire ce que je ressens de peur que les phrases amplifient mes maux.
Et puis cela ne sera d’aucune utilité ou aide, ni pour moi, ni pour ceux qui me lisent. Car toute personne ayant de l’esprit, de l’ambition et un minimum de responsabilités a dû faire face à ce démon.
J’en viens donc à la cause de ce post…
Je m’adresse à toi qui à pris la peine de parcourir ces quelques lignes qui ne sont en faite qu’une requête simple.
Il semble que je ne puisse écrire qu’a cette heure tardive, quand tout le monde, ou presque, dort !!
C’est comme si la présence de gens inhibait mes pensées, les polluaient. Ça me soulage d’écrire, de traduire en mots et phrases mes sentiments.
Justement !! Je me suis mis cette nuit à écrire pour exprimer un sentiment qui m’accable. Le mot pour exprimer ce sentiment est désespoir. Un mot simple sensé traduire un état d’âme!
Mais derrière ce mot se cache –du moins selon moi !- une peine ‘corrosive’ et dure à supporter. Il traduit un sentiment d’impuissance face aux aléas de la vie, prouve un refus de l’échec et signifie une incapacité de se projeter positivement dans l’avenir.
J’ai l’impression que je dissèque ce mot comme pour le comprendre à fin de rationaliser cet état de panique passive qu’est le désespoir.
J’évite de décrire ce que je ressens de peur que les phrases amplifient mes maux.
Et puis cela ne sera d’aucune utilité ou aide, ni pour moi, ni pour ceux qui me lisent. Car toute personne ayant de l’esprit, de l’ambition et un minimum de responsabilités a dû faire face à ce démon.
J’en viens donc à la cause de ce post…
Je m’adresse à toi qui à pris la peine de parcourir ces quelques lignes qui ne sont en faite qu’une requête simple.
Réponds à mes questions.
Peut-on triompher de ce démon ?
Et comment ?
Comment reprendre espoir ?
J’aimerai bien le savoir !
5 pensée(s):
Zaydoun il faut pas déséspérer il faut toujours regarder en bas de l'echelle regarder les autres (rigoler sans se moquer!!!!) rehausser la tête et continuer jusqu'a atteindre la dérnière marche et dire MERDE a la vie et se battre jusqu'a perdre la dérnière once de vie qui est en toi. Le déséspoir c'est pour les gens sans convictions et sans buts qui ont la tête aussi vide que la session sur laquelle je travaille(tu sais de quoi je parle)alors reprends toi et je ve plus lire ces conneries!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
c koi ce coup de blues man ?? allons des couilles putain! t3allem eddo55ane ken lzem !
écrire, c'est vivre une deuxième fois.
Ton désespoir, apprends à le dompter, et bientôt, ton écriture portera en elle le germe d'un talent inestimable.
Car il faut avoir connu le fond du gouffre pour savoir parler du vrai bonheur des choses et des êtres ...
si ça peut t'aider :)
La vie est une chance incroyable qu'il faudrait vivre intensément. Je me suis réveillé à 40 ans, et depuis, je mord à pleine gueule dans cette belle pomme. Ce sont maintenant 13 ans d'action paralléle, hors normes et contre le courant et le préétabli, et depuis, je vie un bonheur illimité que je voudrais sincérement partager avec touts les humains.
@Zyed : j'avance lentement dans tes archives. Je fouille ta mémoire...
Peut-on triompher de ce démon ?
Je ne sais pas. En ce qui me concerne, je ne pense pas avoir triomphé... j'apprends simplement à vivre avec, à le maîtriser autant que possible. A un certain moment, au sortir de mon adolescence, quand j'ai pu enfin sortir la tête de l'eau, je me suis demandé s'il était possible d'oublier, de vivre sans penser au passé. Je savais bien en moi que c'était impossible (je suis historien et je connais le poids du passé !) mais j'ai essayé d'y croire. Je n'ai pas essayé d'oublier en fait... j'ai seulement essayer de ne pas penser à certaines choses. Mais en fait, je me suis rendu compte que lorsque j'agissais, je le faisais souvent en fonction de mon passé, parfois inconsciemment. Je angoissé souvent, timide très souvent, ... tout cela a des répercussions quotidiennes et tout cela vient du passé. Même si j'oublie le passé, ça n'empêche que ces comportements acquis sont bien là. Alors en fait, c'est pour cela que je dis qu'il faut apprendre à vivre avec ce "démon" dont tu parles. Personnellement je dois travailler à vaincre mes angoisses ou ma timidité... mais je sais bien que je n'arriverais pas à un résultat parfait. C'est impossible je crois. En fait, je me suis fixé pour but depuis maintenant quelques années de progresser... simplement progresser. J'ai pu mesurer mes progrès. Je sais que j'avance. Je sais que je suis très lent. Mais c'est bien déjà d'avancer. J'essaie d'établir des sortes de repères, des petits défis qui peuvent paraître insignifiants mais qui comptent beaucoup quand on les réussit. En fait c'est le fait d'avancer, même très lentement, qui me donne ce fameux espoir.
Garde l'espoir mon petit Ange,
Dans la vie tu sais tout change,
Parfois si peu qu'on n'y croit,
Mais assez pour que cela soit
Un bienfait que notre coeur,
toujours transforme en bonheur.
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