Le doute !!

Quand on aime tout devient beau !! Certes, mais il suffit d'une infime parcelle de doute pour que la vie devienne un enfer.
Quand on est certains de ses sentiments et que l'on doute de leur écho dans le cœur de la personne aimée l'idylle tourne au calvaire.
Cela me parait étrange !! Car après tout l'amour est un sentiment spontané 'il a des raisons que la raison ignore'. Il peu naître sans aucune raison apparente. Il se passe sans gêne de justifications et ne cherche ni le pour quoi ni le comment.
Partant de cette constatation on pourrait penser que l'amour est un sentiment spontané et indépendant de tout élément extérieur.
Et bien cela n'est valable qu'au moment de la manifestation de ce sentiment.
Ensuite c'est toute une autre histoire…
Plusieurs facteurs interfèrent avec le sentiment amoureux. Je parle de la nature profonde de l'être humain ses instincts son caractère.
Et pour en venir a l'effet du doute sur l'amour, raison première qui m'a poussée a rédiger ces lignes, je dit que le doute naît de notre désir de possession. Un désir instinctif que nous pensons légitime envers la personne aimée. Plus encore, nous exigeons comme droit acquis la réciprocité de notre amour.
Mais qu'en est il de l'autre ? De sa liberté ? De son avis ?
On ne le lui demande guère. Et même si on le lui demande, un refus n'est jamais accepté sincèrement !!
Est il concevable qu'un sentiment que nous définissons pur, nous tourne en un personnage vil et égoïste ? Un être pitoyable qui quémande l'affection d'autrui
Serai-ce notre peur d'être seul dans un monde si vaste qui nous pousse a de tels extrêmes ?
N'est il pas possible de se libérer de nos vils instinct pour pouvoir savourer l'amour, ce sentiment angélique, sans pour autant le profaner?
Mais voilà, les anges n'aiment pas, les humains si !!
Tout serait plus simple si l'amour était réciproque…..

mercredi 28 décembre 2005 15H

Hier j’ai passé une soirée sublime. Le cadre était idéal, tout était calme, le froid et l’humidité ne faisaient qu’attendrir la nuit qui nous réunissait.
Et puis il y avait Toi…
J’essaye de me remémorer le plaisir que j’ai eu en ta compagnie mais ma mémoire me fait défaut. Comme si mon esprit refusait de reléguer au rang de souvenir ce qui c’est passé cette nuit là.
Les discussions que nous avons eu, les gestes, les mots et les regards qu’ont s’est partagés me semblent trop beaux pour être vrai.
Pour une fois tout était différent de ce que j’ai connu auparavant.
Si c’est ça l’amitié, je suis soulagé, je n’ai plus besoin d’aimer !!
Je t’ai confié ma vie et mon cœur comme un grand livre ouvert.
Je t’ai compté mes rêves, mes désirs les plus chers et mes craintes les plus amères.
Tu était à mes cotés entrain de m’écouter pas par politesse ni par curiosité mais à mon avis il y avait une certaine complicité.
Nos vies et nos histoires se croisent et se ressemblent. Nous avons fait et faisons toujours face aux épreuves de la vie.
Nous aimons de la même façon et avons le même besoin inné d’être aimés.
Nous cherchons tout deux notre voie, un sens a la vie et quelqu’un sur qui on peu compter.

Pour l’instant je n’ai plus que ces quelque mots a te dire :
Nos vies débutent
Laissons nous guider par nos rêves
Dieu seul sait de quoi demain sera fait

Qu’est ce sentiment qui m’envahie ?

Qu’est qui fait que l’on s’attache a une personne si rapidement ?
Qu’est qui fait que les mots deviennent inutiles pour se connaître ?
Qu’est qui fait que les idées fusent dans deux esprits et les fusionnent ?
Qu’est qui fait que les regards deviennent des vers et les sourires des proses ?
Qu’est qui fait que l’on devienne soudainement poète ?
Qu’est qui fait que toutes les peines s’estompent ?
Qu’est qui fait que tout s’embellit ?
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Épisode n°1 : L’aurore


J’ai assez de souvenirs de mes premières années pour pouvoir dire que j’ai eu une enfance… ‘Enrichissante’. J’hésite à employer le mot ‘heureuse’ car, avec le recul que m’accordent ces quelques années passées, ce n’est guère ce qui m’importe le plus. Certes, comme tout le monde j’ai rit, un peu, beaucoup ou pas assez, je ne saurait trop le dire !!
J’ai grandi entre la maison de ma grand-mère rue Pierre Curie et notre petit appartement rue Madrid. En plein centre ville avec tout son boucan ses rues toujours sales et ses vielles bâtisses avec les failles qui se ramifiaient sur leurs façades, des rides, marques du temps qui passe.
C’était toujours l’hiver, ou du moins c’est l’impression que j’avais. Il me semble que le cycle des saisons n’avait pas d’emprise sur cette parcelle infime du monde, mon monde! En fouillant dans ma mémoire je ne vois que de la brume les flaques d’eau au pieds des arbres dénudés. Les traces d’une pluie nocturne. Je me souviens des réveils froids et pénibles – et dans mon esprit d’enfant c’était la pire des injustices -avant même que le soleil ne se lève !!
Je me souviens des vêtements gelés que je devais me passer, la brique de beurre glacé que j’arrivais avec peine à étaler, le pin de la veille qu’on grillait, le lait sur le feu qu’il fallait surveiller.
Heureusement qu’il y avait l’eau chaude !! L’apothéose de mon rituel matinal quotidien. Je la laissait couler j’us qu’a ce que cette vapeur chaude et chaleureuse, que j’aimais tant inhaler, remplisse la pièce. Le contacte de l’eau brûlante avec mes mains et mon visage me vivifiait me revigorait ; une sensation à la fois douce et violente qui me plaisait.
Ce n’est qu’après ce baptême que j’étais prêt à outrepasser le seuil de mon chez moi.

…à suivre !!

 
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