Ce poeme qui prend fin
Seul ds un café je noie mon chagrin
Dans cette foule qui ne s'en soucie point
Je pense a celle qui dort au loin
Celle a qui ne mene plus aucun chemin
De toutes mes forces j'ai essayé
De la proteger de la garder
Elle resitais et me repoussait
Et contre moi elle se rebellait
Je suis jeune disais elle
Ma si jolie demoiselle
Tu es fragile repond ai je
Charmé par son sortilège
A maintes reprises g tenté
En vain de la raisonner
Souvent elle s'excusait
Jamais elle se repentais
J ai beau offrir le reel
Mais elle me preferait le virtuel
Ma vie mes reves et mes espoirs
Mais elle ete porte vers l illusoir
Comme ce paillon qui se rue
Vers ce feux qui le tue
Elle croyait que la gardais captive
Alors je que je voulais heureuse qu elle vive
Elle prenait pour de la jalousie
Mon inquietude pour elle et le soucis
Elle prenait pour des ordres autoritaires
Mes conseils pour la satisfaire
Avec elle g appris la patience
G repoussé mon seuil de tolerance
Je me suis accoutumé a la soufrance
Entrecoupé par des monent de transe
Elle m a promis d etre mienne
Et j esperai qu elle y tienne
Elle m a promis de me menagé
Alors que chaque elle me malmenait
Elle a vincu par son insolence
Ma patience et ma perseverence
Elle a deteuit par son arrogance
Un vieux reve d enfance
Pourtant mon corps la reclamme
Et mon coeur l'acclamme
Alors que ma raison la comdanne
Oublie mon nom m'a t elle dit
Et puerilement elle oublie
Que je lui ai jamais mentis
Dans ce que g dit et promis
Mon coeur saigne
Et ds mes larmes il baigne
De cette fin que mes yeux craignent
Je ne veux pas que ce poeme finisse
Car mes peines guere ne tarissent