I think I should have focused more on the central subject which came up a bit blurry and enlarged the the frame to the upper left. Anyway I have the criquets phone number I'll reschedule another photoshooting :)

Tu es ma femme

Et mon Coeur t’acclame

Tu es ma dame

Et mon Corps te reclame

De mon etre tu es la flamme

A mes maux tu es le balsame

Et a mon Bonheur tu es le sesame

Je t’aime…

quand un peuple prit en otage
entre la faim et un carnage
une machine de guerre sauvage
qui le décime avec rage

que valent les sommets?
quand on y reste muet?

* * *

quand chaque min un innocent meurt
et que tout une famille le pleure
le malheur écrasant leur coeurs
emportant a jamais un des leurs

y a t il temps pour les discours?
et les paroles de velours?

* * *

quand des peuples sont muselé
pour les empêcher de crier leur solidarité,
a défaut de donner leur sang
ils ne leur reste que des slogan

quand la colère devient amère
nourrie par l impuissance de la misère
des peuplent qui meurent
quand d autres prospèrent

Y a t il encore place a la justice?
y a t il encore place a la paix?

En rentrant chez moi je frappe a la porte car je n'ai pas de clé. Et j'ai choisis de ne pas avoir de clé car je préfère que elle, ma mère, m'ouvre et me souhaite la bienvenue. C'est ce qui me soulage le plus après une longue journée de travail.

Elle m'a ouvert et j'ai tout de suite vu que qu elle n'allait pas bien. J'ai cru qu'elle était perturbée car mon frère lui manque en plus j'étais au téléphone donc g pas très bien fait attention

elle m'ouvre et va vite dans sa chambre et je me rend conte que c'est grave. Elle essayait de me cacher ses larmes.. je la rejoins en faisant le pitre comme a mon habitude sans succès pour cette fois.

Je m inquiète, je pense au pire... mon frère va bien je lui ai parle cet après midi.. Y-aurait-il eu un malheur entre temps ? Mon coeur se serre. Je lui demande ce qui ne va pas en me préparant a la catastrophe.

Et la elle commence a me parler en sanglotant des morts innocents qu'elle n'arrête pas de voir a la TV, des bombes interdites au phosphore qui consument la chaire jus qu'a l'os. Et tout en tenant sa cuisse elle me racontait qu'ils était obliges d'amputer la jambes des victimes pour éviter que ca ne se propage et en tenant l'arrière de sa tête elle me parlait de cet enfant qu'elle a vu avec le crâne 'troué'.

Egoïstement, j'était soulagé, ensuite ca m'a écoeuré de constater que du moment que les êtres que je chéris vont bien je suis soulagé.

Les larmes de ma mère m'étaient insupportables, intolérables et impardonnables. Et c'est la que réellement je me suis rendu compte de l'ampleur des tragédies que vivent ces innocents a Gaza en particulier et en Palestine en général.

La mort et la douleur ne sont rien face aux larmes d une mère qui pleure son propre frère, qui pleur son propre père. Et ces larmes sont d'autant plus insupportables quand on se retrouve impuissant face a une force qui nous dépasse et a la mort et la désolation qui tombent du ciel et qui nous entourent de partout. Quand la moitie du monde nous regarde impuissante nous débattre dans notre propre sang et que l'autre moitie nous tournent le dos!

Je hais ce monde qui se targue d être civilisé et développé alors qu'il n a jamais était aussi sauvage depuis que le premier homme l'a foulé.

Je méprise ce monde hypocrite qui crie au scandale lors qu'on maltraite des bêtes et qui attend le film de la soirée tranquille dans son fauteuil après les info ou on montre des humains déchiquetés

Je me hais d'être faible et impuissant de n'avoir que des mots qui ne pensent ni plaies ni rassasient des affames. Je me méprise de n'avoir que ma voix pour crier mon désarrois contre ces gens qui font les lois qui ratifient des traites qu'ils s'empressent d'ignorer quand leur intérêts financiers en sont menaces.