Lettre n°1
Un nouveau jour est entrain de naître, les premiers rayons de l’aube prennent la place de l’obscurité apaisante de la nuit. Une nuit qui a été longue, une nuit où le sommeil m’a fait défaut. Une nuit, où en sculptant cette prose je me suis efforcé de renier un sentiment que depuis quelque temps me hante. Un sentiment que je repousse de toute la force que me procure ma raison. Un sentiment qui a des raisons que LA raison ignore. Cette raison qui me suggère que c’est vain que c’est un caprice dû a ma nature profonde.
J’ai des projets, des rêves que je veux concrétiser. Je veux absolument réussir comme pour me détacher de la médiocrité qui m’horrifie. Une médiocrité que je me suis appris à détester. J’aime à croire en ma destinée, une sorte de mission dont je suis chargé. C’est ce qui me donne la force de croire en moi, en mes compétence, mon potentiel. Je crois peut être en une chimère. Un tissu de mensonges que j’arbore pour faire face a une réalité plate et accablante.
Je regarde autour de moi dans mon petit monde. J’essaye de le comprendre de le décrypter. Une chose parmi tant d’autres me laisse perplexe. La misère!
En Indonésie, des gosses de seize ans vivent et travaillent dix-neuf heures par jours et onze mois par an sur des îlots artificiels en pleine mer pour dix-sept euro par mois!! Ils endurent la faim l’exploitation et n’ont ni vie sociale ni même le droit de rêver !! ils quittent leur familles leur amis et renoncent à leur enfance pour survivre. Ils sont obligés de vendre leur liberté et renoncer à leur humanité pour dix-sept euro... C’est loin d'être un cas isolé, je le sais. Mais qu’es ce que cela veut bien dire? Sont-ils moins méritant? Sont-ils plus insignifiants? Je ne suis sûr que d’une chose; c’est que j’ai du mal rien qu’en m’imaginant évoluer dans un monde tel que le leur!!
Je me pose une question: Dois-je me résilier à me contenter d’une vie stable et préalablement planifiée? Ou, au contraire, dois-je la risquer en poursuivant un idéal que je me suis fixé sans pour autant l’avoir cerné?
J’ai entendu dire que nous planifions nos vies comme pour les peindre. Le problème est que la vie nous impose le choix des couleurs!!
· Doit-on réussir sa vie ou vaut-il mieux en profiter?
· N’est-t-il pas possible de faire triompher une ambition farouche d’une réalité accablante?
· Quel est le plus court chemin vers le bonheur?
J’ai des projets, des rêves que je veux concrétiser. Je veux absolument réussir comme pour me détacher de la médiocrité qui m’horrifie. Une médiocrité que je me suis appris à détester. J’aime à croire en ma destinée, une sorte de mission dont je suis chargé. C’est ce qui me donne la force de croire en moi, en mes compétence, mon potentiel. Je crois peut être en une chimère. Un tissu de mensonges que j’arbore pour faire face a une réalité plate et accablante.
Je regarde autour de moi dans mon petit monde. J’essaye de le comprendre de le décrypter. Une chose parmi tant d’autres me laisse perplexe. La misère!
En Indonésie, des gosses de seize ans vivent et travaillent dix-neuf heures par jours et onze mois par an sur des îlots artificiels en pleine mer pour dix-sept euro par mois!! Ils endurent la faim l’exploitation et n’ont ni vie sociale ni même le droit de rêver !! ils quittent leur familles leur amis et renoncent à leur enfance pour survivre. Ils sont obligés de vendre leur liberté et renoncer à leur humanité pour dix-sept euro... C’est loin d'être un cas isolé, je le sais. Mais qu’es ce que cela veut bien dire? Sont-ils moins méritant? Sont-ils plus insignifiants? Je ne suis sûr que d’une chose; c’est que j’ai du mal rien qu’en m’imaginant évoluer dans un monde tel que le leur!!
Je me pose une question: Dois-je me résilier à me contenter d’une vie stable et préalablement planifiée? Ou, au contraire, dois-je la risquer en poursuivant un idéal que je me suis fixé sans pour autant l’avoir cerné?
J’ai entendu dire que nous planifions nos vies comme pour les peindre. Le problème est que la vie nous impose le choix des couleurs!!
· Doit-on réussir sa vie ou vaut-il mieux en profiter?
· N’est-t-il pas possible de faire triompher une ambition farouche d’une réalité accablante?
· Quel est le plus court chemin vers le bonheur?
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Le bonheur... C’est ce que j’entrevois à travers ses yeux. C’est ce que je ressens quand je suis en sa présence.
Elle hante mes nuits. Elle occupe mes pensées. Dans ma vision, son portrait se superpose à la réalité, comme du calque sur du papier. Je vois son visage partout ou je pose mon regard, elle altère ma réalité.
J’aimerai tant, mieux la connaître, la découvrir, la transcender. Mon plus vif désir et de faire partie de sa vie et l’impliquer dans la mienne. Partager le quotidien avec ses joies et ses peines. Faire équipe contre le destin. Fusionner nos êtres pour ne faire plus qu’un.
Mon bonheur c’est ELLE.